Mes séries flop 2020

Je vous partageais il y a peu mes séries coup de coeur de 2020 et comme je ne suis pas avare d’avis, j’ai décidé de vous partager aussi mes flops : les séries que j’ai regardé avec peu d’intérêt et mes abandons.

Je me considère comme bon public, j’aime découvrir de nouvelles choses, mais cette année avec certaines, ça ne l’a pas fait. Pas fait du tout.

Avec ce top Flop je ne me ferais peut-être pas d’amis, mais il y a autant de goûts que de couleurs et heureusement ! 

 

Premier flop : Dark Crystal

 

Il n’y a rien eu à faire ; j’ai regardé péniblement les deux premiers épisodes et quand j’ai trouvé une autre série plus intéressante, j’ai allègrement laissé tombé.

Je sais qu’elle a du succès, qu’il existait déjà un film en 1982 avec des marionnettes. Je n’ai pas de doute sur la qualité de l’intrigue, mais dans la série qui reprenait le même système de marionnettes, je n’ai pas du tout accroché.

J’avoue ne pas lui avoir donné spécialement de chance, mais il faut savoir qu’en fantasy, mon genre de prédilection, soit j’adore, soit je n’adhère pas. Et il faut dire que je n’adhère pas souvent, car je suis compliquée. Il faut vraiment que l’histoire m’interpelle pour que je m’y penche plus longtemps.

Résumé : Dans un monde où brillent trois soleils les Skekses, des êtres malsains, possèdent un bloc de cristal qui leur permet de dominer le peuple Gelfling et de le détruire. Jen, l’unique survivant de ce peuple, décide de s’approprier le bloc de cristal afin d’anéantir les Skekses.

 

Deuxième flop : Luna Nera

On ne pourra pas dire que je n’insiste pas. J’aime les histoires de sorcières et donc me suis laissée surprendre par cette série qui n’arrêtait pas d’apparaître dans mon fil Netflix. Luna Nera par ci, Luna Nera par là. Ok, je lance.

J’ai regardé quelques épisodes, mais sans passion. Et ce n’est pas la langue qui m’a gêné. J’ai juste trouvé ça “chiant” pour être polie. Il y a des moments d’actions, nous sommes en pleine chasse aux sorcières, très bien. Rien qui envoie du bois quoi. Je n’ai pas eu le petit tilt qui m’aurait donné envie de continuer. Je ne saurais même pas dire à quel épisode je me suis arrêtée car elle a tourné en fond sonore, sans que je sois très attentive. 

Résumé : Au xviie siècle, une adolescente sage-femme de 16 ans nommée Ade découvre que sa famille est composée de sorcières alors que le père de son bien-aimé les poursuit, les accusant elle et sa grand-mère de sorcellerie.

 

Troisième flop : Emily In Paris

Voici un flop qui n’est pas du fantasy ni du fantastique et un flop où je suis vraiment allée au bout. 

Pourquoi ?

Parce qu’en regardant quelques avis sur internet, découvrant la fureur des parisiens, je voulais me faire mon propre avis. Les épisodes sont courts ce qui atténuent la torture. Alors je l’ai bingewatché comme ça “c’était fait”.

Eh bien oui, c’était fait. Je comprends l’énervement des parisiens, mais comprends aussi le choix des scénaristes de ne montrer que le Paris bobo. Il faut dire que la jeune américaine évolue dans une agence marketing pour des grandes marques de luxe et qu’il est rare que celles-ci se trouvent à Barbès. 

J’ai ris plusieurs fois, notamment quand l’agent immobilier lui montre “sa petit chambre de bonne”, c’est à dire un bon 40m² dans un beau quartier. J’ai ris en voyant les comportements des français car même s’ils paraissent bourrus, c’est souvent comme ça que nous sommes. J’ai ri quand je l’ai vu porter un béret ou être sapée comme jamais dans la rue. Bref, des clichés comme il y en a souvent sur Paris et d’un autre côté, une série sera plus vendeuse en poussant le “rêve parisien” que les galères dans le métro et les quartiers plus populaires. C’est dommage, mais c’est comme ça.

Je crois qu’il y aura une saison 2, mais ce sera sans moi ! Le monde des séries est bien trop grand pour perdre son temps 🙂

Résumé : Emily Cooper, une Américaine originaire de Chicago, accepte de déménager en France, et plus précisément à Paris, pour saisir une opportunité professionnelle. … Elle va devoir s’adapter aux mœurs françaises, aux nombreux prétendants et aux clichés qui s’en suivent.

Bénédicte

 

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