la guerre de l’Ordre, une nouvelle saga… épique !

Le 21 janvier dernier, le premier tome de ma toute nouvelle saga de Fantasy épique a été publié. Fruit de plusieurs mois de travail, je n’ai jamais autant peiné à écrire une histoire.

 

Bon, si nous remettons les choses dans leur contexte, je n’en ai pas écrit non plus tant que ça. J’ai écrit une duologie, point.

Cette duologie, celle des Chroniques d’Almérante, a marqué un tournant dans ma vie et je ne l’oublierai jamais. C’est grâce à elle que j’ai trouvé le courage de croire en moi (eh oui, pour ça aussi il faut avoir du courage), l’envie de changer de vie et de me consacrer à plein temps à mes écrits.

 

Génèse de la guerre de l’Ordre

 

Cette nouvelle saga s’inscrit dans la continuité de mes deux premiers romans.

Alors que ceux-ci, “La Faille” et “Les Gardiens” font partie d’un même arc narratif, mais ne se suivent pas directement, la tétralogie de la guerre de l’Ordre racontera la même histoire. Pas de bond dans le temps massif, comme c’est le cas dans la duologie.

L’envie d’écrire dans le même univers, celui d’Almérante, m’est venu assez rapidement. J’avais une nouvelle histoire, enfin un intrigue très peu construite et je devais créer un univers car il s’agissait encore de Fantasy épique. Mais alors, s’il s’agissait encore de Fantasy épique, pourquoi quitter ce monde dans lequel ma plume s’était épanouie pendant trois ans ?

J’ai répondu très vite à cette question, car j’avais laissé une ouverture possible dans le tome des Gardiens. Lorsqu’il s’agit de prendre des décisions importantes comme le choix d’un univers, je suis plutôt une rapide. Je peux passer des heures à me demander ce que je vais bien pouvoir manger, mais pour ça, pas plus de quelques minutes !

Et j’ai commencé à interroger mon intrigue, mon fil directeur et à l’implanter dans ce monde que je connaissais si bien. Miracle ! Cela collait parfaitement. J’avais tout à disposition pour proposer une histoire qui tienne en haleine avec de multiples surprises et rebondissements.

Est alors venu le temps de l’écriture et je l’avoue, je m’y suis jetée tête baissée. J’avais quelque chose à me prouver.

Car l’on dit souvent qu’en autoédition il faut publier souvent pour en vivre, alors je voulais absolument découvrir si j’étais capable d’écrire “vite”. La réponse ? Oui, j’en suis capable. Le deuxième niveau de lecture ? non, ce n’était pas forcément une bonne idée.

J’ai clairement bâclé l’intrigue début 2021. Je voulais absolument avancer, quitte à prendre des raccourcis et à mettre en scène des situations qui ne reflétaient pas le rythme que je voulais. Mais j’ai abouti ! J’ai terminé ce roman en 2 mois 1/2 ! Une vraie prouesse pour moi.

 

 

La réécriture, une période laborieuse

 

Et ce qui devait arriver, arriva ; passez-moi l’expression : j’en ai chié. Purement et simplement. Cette écriture passait les bêta-lectures, mais un point continuait de me chagriner. Il n’était pas comme je voulais. Et la sentence est tombée à l’été 2021 : il manquait de rythme. Ce rythme que je cherchais et dont j’avais conscience de manquer… Mais je me voilais la face.

Pour comprendre pourquoi j’ai fait clairement n’importe quoi à cette période, il faut remettre en perspective ma vie professionnelle. J’ai été positionnée sur un projet très intéressant, très moteur, très important pour mon CV et je n’avais plus de place disponible pour réfléchir tranquillement. C’est simple, je dormais projet, je mangeais projet, je vivais projet.

Ce n’est pas une excuse, loin de là. Cela montre juste que je n’avais pas l’envie de faire plus d’efforts que ça pour ce roman. Et la sentence irrévocable en août, a confirmé ce que je savais déjà : il y avait encore du boulot pour en être fière.

Alors, prenant mon courage à deux mains, j’ai revu tout le plan. J’ai essayé d’apporter le rythme qui me manquait. J’ai coupé, ajouté, réécrit, retourner ce texte dans tous les sens.

j’ai souffert.

Mon texte aussi.

Je l’ai tellement trituré que je ne savais plus quoi en penser et je ne sais toujours pas quoi en penser d’ailleurs. Alors j’ai fait ce que tout auteur qui commence à se professionnaliser fait : j’ai laissé d’autres personnes décider pour moi.

Car nous sommes mauvais juge de notre propre travail.

J’ai été rassurée. Assez pour me dire qu’il fallait qu’il sorte et que j’espérais qu’il trouve son public.

Alors voilà, c’est ainsi qu’Obéissance, le premier tome de la saga “La guerre de l’Ordre” est né.

Je sais déjà que la suite sera plus simple à écrire.

Et j’espère vous emmener dans cette nouvelle aventure surprenante.

 

Résumé :

 

Comment une milicienne dénuée de magie et un fantôme peuvent-ils réussir à protéger l’équilibre fragile du monde d’Almérante ?

Asnya, orpheline et milicienne à la solde de l’Ordre Thaslien, le courant religieux le plus puissant d’Almérante, rêve d’évoluer dans la hiérarchie.
Accompagnée du fantôme de Len, son meilleur ami décédé dans des circonstances tragiques, elle vit au jour le jour, espérant que la chance tournera en sa faveur.

Et si la perte de ses facultés magiques lui permettait un jour de briller ?

C’est ce qu’elle espère quand une nouvelle mission à l’importance capitale bouleverse enfin sa routine et la conduit jusqu’à la cité de Nowa. Au risque de faire vaciller toutes ses certitudes…
Une seule question se pose alors : Asnya sortira-t-elle indemne de cette épreuve ?

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